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Entrevista a Madalena Oliveira

Entrevista com Madalena Oliveira. Boletim ICS, abril 2022.

O Instituto de Ciências Sociais, da Universidade do Minho, adotou como boa prática promover uma entrevista aos ex-membros recentemente reformados, para publicação no respetivo Boletim Informativo. Proporcionou-se uma conversa amável, franca e empática com Madalena Oliveira, atual diretora do Centro de Estudos em Comunicação e Sociedade.

A reforma não é a conclusão de um percurso mas uma nova fase. Não é por ser tão gasto que este provérbio deixa de ser verdade. As janelas de oportunidade modificam-se mas mantêm-se abertas para franquear experiências e arejar espíritos. Noutra condição, por outros caminhos e com novas artes.

Segue a entrevista, em pdf, a Madalena Oliveira.

Imaginário

Jacques Le Goff. O Imaginário Medieval. Ed. Estampa. 1995. Capa.

Costumo visitar livros. Confesso que, desde que deixei nos anos oitenta de “estudar” autores, não leio um livro por inteiro. Por inteiro, apenas os literários. De visita ao livro O Imaginário Medieval, de Jacques Le Goff (1985), encontrei uma definição interessante do conceito de imaginário, em contraposição com os conceitos de representação, símbolo e ideologia. Transcrevo o excerto do original em francês e acrescento um scan, quase ilegível, da tradução em português pela Editorial Estampa (carregar na imagem do texto para aumentar).

Sinto-me tentado a passar a introduzir no Tendências do Imaginário, espaçadamente porque indigestas, uma ou outra transcrição académica com a qual que me identifico.

IMAGINÁRIO

“Une dimension de l’histoire m’a depuis quelques années de plus en plusretenu : celle de l’imaginaire. Il faut d’autant plus la définir qu’elle est naturellement floue. Je tenterai de le faire au moyen de trois types de référence. La première concerne les concepts. Trop souvent l’imaginaire est confondu avec ce que désignent des termes voisins, à l’intérieur de domaines qui se recoupent, mais qui doivent être soigneusement distingués. D’abord la représentation. Ce vocable très général englobe toute traduction mentale d’une réalité extérieure perçue. La représentation est liée au processus d’abstraction. La représentation d’une cathédrale, c’est l’idée de cathédrale. L’imaginaire fait partie du champ de la représentation. Mais il y occupe la partie de la traduction non reproductrice, non simplement transposée en image de l’esprit, mais créatrice, poétique au sens étymologique. Pour évoquer une cathédrale imaginaire, il faut avoir recours à la littérature ou à l’art : à la Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, aux quarante tableaux de la Cathédrale de Rouen de Claude Monet, à la Cathédrale engloutie des Préludes de Claude Debussy. Mais s’il n’occupe qu’une fraction du territoire de la représentation, l’imaginaire le déborde. La fantaisie, au sens fort du mot, entraîne l’imaginaire au-delà de l’intellectuel e représentation.

Ensuite, le symbolique. On ne peut parler de symbolique que lorsqu’il y a renvoi de l’objet considéré à un système de valeurs sous-jacent, historique ou idéal. Les rois de France des portails royaux des cathédrales sont l’actualisation des rois antiques de Juda (ou inversement). La femme aux yeux bandés de la sculpture gothique est l’emblème de la Synagogue. Ces statues sont symboliques. Elles expriment la correspondance de l’Ancien et du Nouveau Testament, du monde royal du Moyen Âge et du Monde biblique, des figures de l’art et des idées de la religion. Quand Victor Hugo dit de Notre-Dame, vue par Quasimodo : « La cathédrale ne lui était pas seulement la société, mais encore l’univers, mais encore toute la nature », il crée une cathédrale symbolique, miroir des trois mondes que le génial bossu y déchiffre, mais aussi une cathédrale imaginaire (« toute l’église prenait quelque chose de fantastique, de surnaturel, d’horrible ; des yeux et des bouches s’y ouvraient çà et là»), car cet exemple montre bien comment ces catégories de l’esprit peuvent s’unir, se recouvrir même en partie, sans qu’il faille renoncer à les distinguer, justement pour bien les penser.

Cet e distinction est tout aussi nécessaire entre l’imaginaire et l’idéologique. L’idéologique est investi par une conception du monde qui tend à imposer à la représentation un sens qui pervertit aussi bien le « réel » matériel que cet autre réel, l’« imaginaire ». Ce n’est que par le coup de force qu’il réalise par rapport au « réel » contraint à entrer dans un cadre conceptuel préconçu que l’idéologique a une certaine parenté avec l’imaginaire. Quand les clercs du Moyen Âge expriment la structure de la société terrestre par l’image des deux glaives, du temporel et du spirituel, du pouvoir royal et du pouvoir pontifical, ils ne décrivent pas la société, ils lui imposent une image destinée à bien séparer clercs et laïcs et à établir entre eux une hiérarchie, car le glaive spirituel est supérieur au glaive temporel. Quand ces mêmes clercs découpent dans les comportements humains sept péchés capitaux, ce n’est pas une description des mauvaises conduites qu’ils réalisent mais la construction d’un outil propre à combattre les vices au nom de l’idéologie chrétienne. Quelle que soit la part d’invention conceptuelle qu’ils renferment, les systèmes idéologiques, les concepts organisateurs de la société forgés par les orthodoxies régnantes (ou par leurs adversaires) ne sont pas des systèmes imaginaires à proprement parler. Mais là encore la frontière est parfois difficile à tracer. Quand Jean de Meun, dans le Roman de la Rose, évoque l’âge d’or et la naissance du pouvoir politique dans la société humaine, est-ce de l’imaginaire ou de l’idéologique ? Les deux ensemble, à l’évidence. Mais la tâche du critique littéraire comme de l’historien est de faire la part des deux et d’analyser leurs imbrications.

Cet exemple m’amène à la seconde référence qu’évoque le concept imaginaire. Les documents sur lesquels travail e l’historien peuvent sans doute renfermer tous une part d’imaginaire. Même la plus prosaïque des chartes peut, dans sa forme comme dans son contenu, être commentée en termes d’imaginaire. Parchemin, encre, écriture, sceaux, etc., expriment plus qu’une représentation, une imagination de la culture, de l’administration, du pouvoir. L’imaginaire de l’écrit n’est pas le même que celui de la parole, du monument, de l’image. Les formules du protocole initial, des clauses finales, de la  datation, la liste des témoins, pour ne pas parler du texte proprement dit, reflètent autant que des situations concrètes un imaginaire du pouvoir, de la société, du temps, de la justice, etc. Mais il est clair que l’histoire de l’imaginaire a ses documents privilégiés et tout naturellement ce sont les productions de l’imaginaire : les oeuvres littéraires et artistiques. Documents difficiles pour l’historien. L’exploitation de la plupart d’entre eux suppose une formation, une compétence technique que l’historien n’a pas.” (Jacques Le Goff, L’imaginaire mediéval: Essais. Paris, Gallimard, Préface, 1985).

Jacques Le Goff. O Imaginário Medieval. Editorial Estampa. 1995. 1
Jacques Le Goff. O Imaginário Medieval. Editorial Estampa. 1995, p. 11

Festas, Culturas e Comunidades: Património e Sustentabilidade (Congresso)

Está aberta a chamada de resumos de comunicações para o Congresso Internacional Festas, Culturas e Comunidades: Património e Sustentabilidade, previsto para os dias 4 a 6 de maio de 2022, na Universidade do Minho. Para mais informação, carregar na imagem do cartaz ou no seguinte link: https://www.festivity.pt/congresso/

Fabricados na fábrica. Edição online.

“Dez anos depois, eis o livro “Fabricados na Fábrica” em “open access””. O autor é o meu colega Esser Jorge Silva. Corresponde à sua dissertação de mestrado em Sociologia, que tive a honra de orientar. Trabalhamos juntos numa empreitada de grata memória: a avaliação de Guimarães 2012 – Capital Europeia da Cultura. Fabricados na Fábrica está acessível para descarga no seguinte link: https://repositorium.sdum.uminho.pt/bitstream/1822/75057/1/10-Fabricados%20na%20Fabrica.digital.pdf?fbclid=IwAR2K-zCyHhphCaLDW0zP4iiCygRszLd-BKOt86MftwBAB3KQUGE1njbsBHk.

Segue o pdf e o texto do Prefácio que tive o prazer de escrever.

PREFÁCIO
POR UM FIO: AMBIVALÊNCIA DAS REDES SOCIAIS
Revisitar o Vale do Ave é uma forma de lhe dar vida, mormente, se formos
guiados pelo olhar próximo mas lúcido de Esser Jorge Silva. Com a
Sociologia como companheira, cruzamos fábricas e campos e encontramos
trabalhadores, muitos na reforma ou desempregados. Trata-se, sublinhe-se,
de um reencontro. Com lugares, pessoas e memórias. Porque, sabemo-lo
desde a introdução, Esser Jorge foi operário na sua juventude. O seu olhar
não é o de um estranho. Também ele foi, até certo ponto, “fabricado na
fábrica”. Sabe o que é enrolar o corpo e o cérebro na cadência de um tear.
Mas também sabe o que é remendar a esperança com novelo da rotina.
Afortunadamente, o humano corre na seiva destas páginas. Quer-me
parecer que é quando o sociólogo descansa e o homem não sossega que o
livro atinge os seus momentos mais profundos. Às vezes, convém cansar
a ciência para que a realidade assuma algum protagonismo. Neste livro,
principalmente na primeira parte, Esser Jorge quase não dá repouso à
sociologia, mas concede-lhe, de vez em quando, alguma folga. É quando o
sociólogo e a sociologia se sentam a beber palavras calejadas pela vida, com
a vista a pastar pelos quintais, que o milagre do conhecimento acontece.
Atente-se nas entrevistas ao domicílio. Ganha a textura da vida e a espessura
do social. Reconhece-se o Vale do Ave.
Max Weber salientava que “não é preciso ser César para compreender
César”. Trata-se, naturalmente, de um truísmo, mas importa ressalvar que
para compreender César é preciso conhecer César, saber o que signifi ca ser
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César. Com a razão e com o coração. “Conhecemos a verdade, não somente
pela razão, mas ainda pelo coração”. O que vale para o Deus de Pascal vale
para a complexidade humana. Sentir o pulsar de uma investigação mais do
que um obstáculo epistemológico representa uma bênção cognitiva.
O Vale do Ave constitui uma realidade sui generis. Entre outros aspectos,
pelo modo de industrialização e pelo tipo de povoamento. As fábricas
dispersaram-se à procura de bolsas de trabalhadores e as populações
cresceram junto às fábricas. Formou-se, assim, uma confi guração social
que Esser Jorge compara a um lençol. Um tecido humano talhado pelo
molde fabril e alinhavado por relações de dependência pessoal. Relações
fi rmadas cara a cara, assimétricas mas recíprocas, não transitivas (se A
depende de B e B depende de C, A não depende necessariamente de C) e de
curto alcance geográfi co e social. Assim se nutrem e estreitam as relações
com os parentes, os vizinhos, os amigos, os colegas, os chefes e os patrões.
Estas relações raramente extravasam os limites da comunidade local. Este
jeito territorial de estar no mundo enraíza-se na fábrica, na casa, na família,
na vizinhança e pouco mais. As impressões digitais, os percursos de vida,
dispõem-se num padrão pautado pela proximidade. As pessoas crescem,
casam, criam os fi lhos, deslocam-se, mudam de trabalho, envelhecem neste
e para este horizonte quotidiano.
A vida tende a ser centrípeta. Tudo a todo o custo perto de casa.
Nomeadamente, o emprego e o futuro dos fi lhos. Este modelo de interacção
em rede com funda ancoragem local comporta virtudes inegáveis. Antes
de mais, a proverbial resiliência à adversidade. Durante um século, o Vale
do Ave resistiu às crises que abalaram o País. Tornou-se, aliás, um caso
digno de admiração e estudo. Nos anos oitenta, o Vale do Ave esteve na
mira da Comissão de Coordenação da Região Norte e de investigadores tais
como Álvaro Domingues, Teresa Marques ou Madalena Pires da Fonseca.
A malha, além de apertada, era consistente e fl exível. Não se tivessem
embrulhado as coordenadas do mundo e teríamos resiliência para muitos
anos. Mas a escala do mundo mudou. Liberalizou-se e globalizou-se, com
incidência local. O compasso dos dias já não se rege nem pelo toque do
sino nem pelo apito da sirene. E quanto mais uma comunidade se manifesta
especialmente adaptada a uma dada confi guração social maiores os riscos
acarretados pela sua crise.
Na órbita da fábrica, a mobilidade geográfi ca e profi ssional dos
trabalhadores do Vale do Ave era diminuta. Um gesto infi nitamente repetido
torna-se um refl exo. Quem durante uma vida se moldou a um posto e a um
lugar, de corpo e alma, abraça com muita difi culdade um novo destino. A
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rotina, com o tempo, inscreve-se nos corpos e os corpos, com o tempo, só
escrevem rotina. A situação agrava-se quando as habilitações literárias não
ajudam. Neste cenário, como conclui Jorge Esser, “o futuro torna-se mais
desconhecido, inimaginado, incerto e angustiante. Assemelha-se ao pisar
de um terreno movediço onde o equilíbrio se torna impossível até que uma
nova aprendizagem volte a alicerçar o indivíduo”.
Albertino Gonçalves

Saudades das aulas

Geese Book. Nuremberga. Alemanha. Entre 1503 e 1510. Volume I – fol. 186r. Morgan Library.

Saudades das aulas? Comparativamente, as restantes experiências universitárias, a carreira, os cargos, a burocracia, os rituais e as rotinas, revelam-se irrisórias ou simplesmente substituíveis. De fraca ressonância, devoto-as ao alívio do recalcamento. Continuo a investigar, a intervir, a comunicar e a acarinhar amizades. Nos momentos aziagos, menos lúcidos, tenta-me reduzir os cerca de quarenta anos de profissão académica a uma extensa insignificância. Acontece nas quebras de polaridade mais negativa. Consola-me a memória de algumas iniciativas, fora de regras e além muros, das quais, não sendo puritano, em assumido pecado, me orgulho. Recordo, para minha própria sanidade, as mais gratas e marcantes, todas na qualidade de promotor, coordenador ou (co)organizador. Muitas nem sequer os meus colegas conhecem. Confesso que estou convencido que se não for eu a dizer o que fiz mais ninguém o fará. Agora que o presente e o futuro andam numa cadeira de rodas, tenho tempo e ensejo para ruminar o passado. Segue, carregado a amarelo, uma espécie de postit ou lembrete terapêutico que enumera vários retalhos da vida de um professor em idade avançada. Se saltar esta lista ou a ignorar, pouco ou nada perde, sem sombra de prejuízo para o tema deste artigo: as aulas.

  • – Seminário Portugal e os Portugueses – Raízes e Horizontes, em Braga, duas semanas de atividades com filhos de emigrantes provenientes de todo o mundo, para a Secretaria de Estado da Emigração, em junho de 1983 (a atividade mais coletiva);
  • XIII Congresso Europeu de Sociologia Rural, em Braga, em abril de 1986 (iniciativa que excedeu os meus limites);
  • – Mediação/organização local, nos anos oitenta, das filmagens de um documentário da BBC sobre a pastorícia e a vezeira na freguesia de Lamas de Mouro, para uma série de ensino de português no Reino Unido (a atividade mais exótica);
  • – Estudo das relações entre residentes e emigrantes, em Braga e Melgaço, 1989-1994 (a investigação mais consistente);
  • – Programa semanário da RTM (Radio e Televisão do Minho) Quarto por Quarto, aos sábados, das 10 às 12 horas, de outubro de 1995 a fevereiro de 1996 (a atividade mais mediática);
  • – Coordenação de estudos nos bairros sociais das Andorinhas, em Braga, e das Lameiras e de Lousado, em Vila Nova de Famalicão, para o IGAPHE (Instituto de Gestão e Alienação do Património Habitacional do Estado) e o Ministério do Trabalho e da Segurança Social, de 1996 a 1999;
  • Inquérito aos Licenciados da Universidade do Minho (anos 1991 a 1997), para a AAEUM, Braga, 1998 (a atividade de utilidade mais imediata);
  • Conferências de Sociologia, Universidade do Minho, em1997 e 1998:
    • I – Histórias de Vida, Família e Mobilidade Social (11/12/97);
    • II – Jovens e Migrações / Ciência e Sociedade (05/01/98); I
    • II – Pós-Modernidade (09/01/98);
    • IV –  Fontes e Métodos da Demografia (21/05/98);
    • V – Contextos e efeitos sociais do futebol (14/12/98);
  • – Estudo da Romaria da Srª da Agonia, para o Grupo Desportivo e Cultural dos Trabalhadores dos Estaleiros Navais de Viana do Castelo, de 1998 a 2000 (a atividade que mais se aproximou do lazer);
  • – Mediação/organização local, no início dos anos 2 000, das filmagens de um documentário de uma produtora belga sobre os jogos infantis tradicionais em Portugal;
  • –  Seminário Internacional Transição para o ensino superior, na Universidade do Minho, em 18 e 19 de maio de 2000.
  • – Criação do curso de Mestrado em Sociologia da Cultura e dos Estilos de Vida, na Universidade do Minho, em 2000.
  • Grupo de Missão para a Qualidade do Ensino/Aprendizagem, da Universidade do Minho, de 2000 a 2002;
  • – Criação da revista Sociedade e Cultura, seis publicações, de 2000 a 2004;
  • – Seminário Da Universidade para o Mundo do Trabalho: Desafios para um Diálogo, na Universidade do Minho, em 24 e 25 de maio de 2001;
  • – Criação da série de publicações Apontamentos UM, iniciada em 2001;
  • – Criação do Núcleo de Estudos em Sociologia, em 2002;
  • – Implementação da Rede Social do concelho de Melgaço. e elaboração dos respetivos Diagnóstico Social e Plano de Desenvolvimento Social. de 2003 a 2005 (a atividade de maior intervenção social);
  • Inquérito aos idosos do concelho de Melgaço, para o CLAS e o Município de Melgaço, em 2003 e 2004 (o inquérito com maior impacto social);
  • – Inquérito às Associações Culturais do Concelho de Penafiel, para o Município de Penafiel, em 2003 e 2004
  • – Implementação da Rede Social do concelho de Vila Nova de Cerveira. e elaboração dos respetivos Diagnóstico Social e Plano de Desenvolvimento Social. de 2004 a 2006;
  • – Seminário O Trágico e o Grotesco no Mundo Contemporâneo, no Mosteiro de S. Martinho de Tibães, em 19 de abril de 2005;
  • Inquérito às empresas do concelho de Ribeira de Pena, para a Associação ADRIPÓIO, 2003 a 2005;
  • – Criação e acompanhamento do Espaço Memória e Fronteira (museu dedicado à emigração e ao contrabando), inaugurado no dia 27 de Abril de 2007, para o Município de Melgaço, desde 2005 (a atividade mais visível, mais grata e mais cara: cativado todo o orçamento, sobrou a despesa);
  • Inquérito aos trabalhadores da Zona Industrial de Campos, para o Município de Vila Nova de Cerveira, 2006;
  • – Avaliação do Projeto “Dar Vida às Letras”, para a Rede de Bibliotecas e a Comunidade Intermunicipal do Vale do Minho, 2006 e 2007 (a atividade que granjeou mais reconhecimento internacional e a segunda mais cara: cativados dois terços do orçamento, voltou a sobrar a despesa);
  • Inquérito às necessidades de formação profissional dos concelhos de Guimarães, Fafe e Vizela, para a Associação Sol do Ave, em 2006 e 2007;
  • Comissão Instaladora da Casa-Museu de Monção / Universidade do Minho, 2006 a 2017;
  • – Exposição Vertigens do Barroco: em Jerónimo Baía, e na actualidade, aberta ao público de 24 de março até 2 de Setembro de 2007, na Sala do Recibo do Mosteiro de S. Martinho de Tibães (a atividade mais ousada);
  • – Estudo das Perspetivas de Desenvolvimento do Concelho de Monção, para o Município de Monção e a Casa Museu de Monção / Universidade do Minho, de 2007 a 2009 (a atividade que mais se aproximou da intervenção política);
  • Avaliação do Impacto Social e Cultural de Guimarães 2012 – Capital Europeia de Cultural, para a Fundação Cidade de Guimarães, de 2010 a 2013 (de todas as atividades, aquela que me deu mais trabalho e canseira);
  • – Criação do curso de Mestrado em Comunicação, Arte e Cultura, da Universidade do Minho, em 2011 (o meu maior contributo para a Universidade);
  • – Blogue Tendências do Imaginário, desde agosto 2011: https://wordpress.com/view/tendimag.com (a minha perdição);
  • – Blogue Comunicação, Arte e Cultura, desde outubro 2011: https://wordpress.com/view/comartecultura.wordpress.com (plataforma para os alunos e a maior iniciativa de marketing);
  • – Ciclo de Sessões Percursos Profissionais na Área da Cultura, para o curso de Mestrado em Comunicação, Arte e Cultura, de 2011 a 2013 (a atividade com maior abertura pedagógica):
    • A Promoção da Cultura no Minho Interior, na Universidade do Minho, com Angelina Esteves, Catarina Afonso e Nuno Soares, em 8 de novembro de 2011;
    • Iniciativas Culturais do Mosteiro de Tibães, no Mosteiro de Tibães, com Aida Mata, Mário Brito e Miguel Bandeira, em 15 de novembro de 2011;
    • A Política e a Democracia Cultural, no Centro Cultural Vila Flor, em Guimarães, com José Bastos e Carlos Martins, em 6 de dezembro de 2011;
    • A Requalificação do Largo do Toural, na Sociedade Martins Sarmento, em Guimarães, com Maria Manuel Oliveira, António Amaro das Neves e Samuel Silva, em 28 de fevereiro de 2012;
    • Fotografia e Investigação, na Universidade do Minho, com Álvaro Domingues e Isabel Alves, em 2 de março de 2012;
    • A Lã e a Neve – Coreografia, na Caixa Negra da Fábrica Asa, em Guimarães, com Madalena Victorino, em 28 de novembro de 2012;
    • Mulheres da Raia – Sessão com a presença da realizadora, na Universidade do Minho, com Diana Gonçalves, em 9 de abril de 2013;
  • – Exposição Momentos Rurais, do fotógrafo Rui Pires, na Casa Museu de Monção / Universidade do Minho, em junho 2013;
  • – Estudos das festas e romarias de São Bartolomeu de Cavez, das Papas, de S. Tiago, de Santa Senhorinha, de Nossa Senhora dos Remédios e de S. Miguel, do concelho de Cabeceiras de Basto, para o Município de Cabeceiras de Basto, de 2011 a 2013;
  • Escola da Primavera, em Monção e Melgaço. Atividade destinada aos alunos dos cursos de Mestrado em Comunicação, Arte e Cultura, Doutoramento em Ciências da Comunicação e dos três ciclos de ensino em Sociologia, da Universidade do Minho. Aberta à comunidade. Anual, desde 2013 (a atividade mais diplomática, agradável e oportuna);
  • – Comemoração dos 25 anos da Licenciatura em Sociologia, Universidade do Minho, 20 de outubro de 2015;
  • – Alteração do curso de Mestrado em Sociologia, em 2017 (conjunto de iniciativas que se destacam pelo diagnóstico e pelo sucesso);
  • Encontros de Sociologia, no Mosteiro São Martinho de Tibães, iniciados em 2018.
  • Encontros Minho-Galiza:
    • – II, Casa Museu da Universidade do Minho em Monção, em 2017;
    • – III, Auditório de Goyan, em 2018;
    • – IV, Biblioteca Lúcio Craveiro da Silva, em 2019;
  • Quem somos os que aqui estamos? Programa de monografias, documentários, fotografia e eventos dedicado aos agrupamentos de freguesias do concelho de Melgaço, para a Associação Ao Norte e o Município de Melgaço. Concluídos os agrupamentos de Parada do Monte – Cubalhão e Prado – Remoães, está em curso o estudo do agrupamento de Castro Laboreiro – Lamas de Mouro. Programa iniciado em 2016 (a atividade mais reflexiva).

Este inventário configura uma espécie de testamento de uma fase da vida. Admito que fui um péssimo agricultor: semeei tanto e colhi tão pouco. Convém ressalvar as aulas e os alunos, pelo desafio e pela recompensa.
Subsiste a noção de que as aulas totalizam unidades coerentemente lecionadas, enquadradas, planeadas e sumariadas. Graças à lógica ou à dialética, o professor conduz o aluno pela mão, de argumento em contra argumento, até à verdade final, como quem peregrina um caminho de Santiago. Sondam-se horizontes, somam-se marcos, semeia-se o trigo, separa-se o joio, numa álgebra do pensamento.
Numa aula, proporciona-se expor ou compor, partilhar ou construir conhecimento. Metaforicamente, não deixa de ser romântico propor-se rasgar janelas em anfiteatros claustrofóbicos, esboçar sombras em salas soalheiras ou erguer pontes entre corredores paralelos. Comungar o possível, a dúvida e o paradoxo, o improviso e o imprevisto, a um ritmo de jazz pedagógico. Uma aula quer-se uma performance, em que quase tudo pode servir como “material didático”: teorias, métodos, técnicas e análises, mas também artes e letras, documentários, filmes, anúncios, pintura, escultura, música, objetos, documentos, testemunhos, anedotas, convites, visitas, entrevistas, eventos… O mundo da vida senta-se na mesma sala em que professor e alunos são partes participantes, sabendo que sem criatividade, interpretação e diálogo não existe recurso ou visita que acrescente valor. A monotonia e a monologia abrem-se à polifonia e à diversidade. Um dos principais desafios consiste em cruzar fontes e alinhavar realidades distintas. Por composição e recomposição, a aula oferece-se como um mosaico ou uma travessia em que cada um, professor ou aluno, desenha o seu próprio percurso. A aprendizagem é heterogénea. A assimilação, a compreensão e a retenção variam consoante as competências, os interesses e as disposições. O professor confronta-se com uma multiplicidade de registos, asseverando-se difícil agir em consonância. Trata-se de uma demanda de sintonia que releva praticamente do milagre.
Não é óbvio navegar nestas águas e ainda menos chegar a bom porto. Quando muito, aproximamo-nos. As aulas são particularmente exigentes e vulneráveis. Requerem esforço, adesão, concentração, flexibilidade e investimento pessoal. Não se prestam à passividade, à rotina e à atenção intermitente. Interligar informação díspar não é confortável nem sequer se apoia numa atitude natural. Pressupõe predisposição e preparação, qualidades nem sempre desenvolvidas durante a trajetória escolar. Os alunos tendem a vir calibrados por e para aulas clássicas. O risco de rutura da comunicação é, assim, elevado. Desligar é um risco, uma outra forma de estar: olhar para a janela e embarcar noutro comboio, entreter-se com o telemóvel, distrair os colegas ou, simplesmente, entregar-se à evasão interior. Os alunos não têm todos o mesmo capital, o mesmo passado e a mesma experiência, o que institui desigualdades e injustiças de problemática e incerta reparação. Estas aulas correm o risco de pedir aquilo que, à partida, não foi oferecido. Neste caso, podem encobrir um fundo e uma perversidade elitistas.
Aulas que exigem esforço, concentração e participação apostam na motivação. O investimento deve compensar, a vários títulos. Aprender com prazer não é uma quimera. Ensinar não é apenas, como dita a etimologia, marcar. É, também, envolver e entusiasmar. A razão não é a única hóspede da sala de aula. Para além do Homo sapiens, o professor também lida com o Homo aestheticus (Luc Ferry, Homo Aestheticus, 1990) e o Homo eroticus (Michel Maffesoli, Homo Eroticus, 1990). As aulas são um “fenómeno social total” (Marcel Mauss). Dar aulas, mais do que uma profissão e do que uma vocação, é uma arte. E a universidade, para além do saber intrínseco das disciplinas, deve prodigar cultura e, mais do que saber, sabedoria. É esse o seu batismo.
A interação na sala de aula é decisiva. Caracteriza-se pela abertura; e a abertura pelo imponderável. Nunca se está suficientemente seguro, dotado ou atualizado. Uma boa cultura geral só pode ajudar. Não há apontamentos nem apresentações que valham, que consigam antecipar e dominar os tópicos e os desvios não só previsíveis mas também potenciais. Auxilia possuir um bom acervo de recursos mobilizáveis, ao mesmo tempo adequados e oportunos. Alguns, se possível, da própria autoria do professor ou, inclusivamente, dos alunos. Convém, enfim, ser bom marinheiro. Quando se navega em águas dispersas, com vários mapas e bússolas, torna-se vital a gestão das âncoras. A abertura e eventual dispersão não dispensam a tensão da compressão, querem-se minimamente articuladas, encadeadas e regularmente sintetizadas. De outro modo, corre-se o risco de se perderem alunos e professores. Por mais originais que as aulas se desejem, cumpre-lhes respeitar os objetivos e os conteúdos programáticos da disciplina.
Este tipo de aula expõe-se a uma espécie de penalização indireta. Os procedimentos e os formulários da avaliação passam ao largo da sua especificidade e do seu valor. Com o professor Leandro de Almeida e demais colegas do Grupo de Missão para a Qualidade do Ensino-Aprendizagem, participei na elaboração do primeiro questionário de (auto)avaliação da Universidade do Minho. Tivemos a preocupação de contemplar várias dimensões consistentes, mediante análises fatoriais, testes e benchmarking. Um instrumento desta índole nunca é perfeito. Sofreu, desde então, alterações significativas. Tornou-se mais unidimensional, com itens mais abrangentes e menos incisivos, com ênfase na vertente administrativa e disciplinar em detrimento da formativa e pedagógica. O que ganhou, porventura, em operacionalidade perdeu em validade. Em suma, passa um pouco a leste da inovação pedagógica e do cabo da Boa Esperança.
Estas aulas são, sem dúvida, uma anomalia! Por isso, tenho tantas saudades delas. Eram a modos como o meu desporto favorito. O meu desporto atual é mais solitário, pouco interativo, menos exigente, menos desafiante e menos empolgante. Estou a falar deste blogue.

Liber ethicorum des Henricus de Alemannia. Scena – Henricus de Alemannia con i suoi studenti. Sec. XIV.

Pós-modernidade avançada

Meow Wolf. 2021.

Tudo no anúncio Get Out And See The Worlds, da Meow Wolf (https://meowwolf.com/), é grande. Grande a Meow Wolf, “uma empresa americana de artes e entretenimento que cria instalações de arte imersivas em grande escala, bem como produz conteúdo de streaming, vídeos musicais e festivais de arte e música” (https://en.wikipedia.org/wiki/Meow_Wolf); grande a agência de publicidade, a Wieden+Kennedy, uma das melhores do planeta; a produtora Biscuit Filmworks; e o próprio anúncio, dois minutos e meio de imaginação e efeitos especiais. Anuncia-se a inauguração de um gigantesco “parque temático” em Denver, a Convergence Station, com resmas de km2, cenários, artistas, performances, mundos paralelos, alta tecnologia, imersão e emoção. Lembra-me o comboio fantasma da minha infância. Estimo o anúncio e o projeto tão interessantes que, caso regresse às aulas, que penso passa-lo aos alunos como exemplo de recurso à tecnologia, ao fantástico e ao grotesco na era da pós-modernidade avançada.

Marca: Meow Wolf. Título: Get Out And See The Worlds. Agência: W+K PortlandECD. Estados-Unidos, setembro 2021.

Fanny: Eva Fora Do Paraíso

“As identidades não são necessariamente distintas. Por vezes, misturam-se umas com às outras. Por vezes podem mesmo ser partilhadas.” (Mary E. Pearson. Fox Forever. 2013). Se gostam, partilhem! Quando partilhamos somos mais.

Acarinho a ilusão de que o blogue Tendências do Imaginário persegue uma vocação universal. Sonha pecar por excesso de inclusão. Empenha-se por ser aberto e plural, numa travessia de mundos e num desconcerto de identidades. Pretende aproximar-se, dialógico e polifónico (Mikhail Bakhtin), heterocêntrico (Jean Piaget), de uma alma acolhedora. Algumas das máscaras que incorpora, num desfile de avatares, são descendentes de Eva. Namora o feminino. Atreve-se a (in)vestir-se mulher. Depois do artigo dedicado a Fiona Apple, seguem as Fanny (), uma das primeiras girl bands (all female), norte-americana de origem filipina, a alcançar no início dos anos setenta sucesso público e comercial.

Maio 68. Slogan Soyez réalistes, demandez l’impossible.

É certo que esta desejada “vocação universal” não é alcançável na íntegra. Mas a realidade oferece-se paradoxal. A porfia do impossível pode revelar-se o melhor caminho para lograr, senão potencializar, o possível. Como diria Ernst Bloch (Thomas Müntzer. Teólogo da Revolução, 1ª ed. 1920), a história da humanidade está repleta de impossíveis realizados e de possíveis não realizados. Lutamos pela igualdade conscientes de que a igualdade plena é uma utopia. Esta concepção é semelhante a uma advertência atribuível à “filosofia do não”: não é por uma ideia estar errada que ela que ela está condenada a nos desviar da verdade. “Eu sou o limite das minhas ilusões perdidas” (Gaston Bachelard, Critique préliminaire du concept de frontière épistémologique.1ª ed. 1936. In Études 2, 2002). Nesta linha, Gaston Bachelard observa, a propósito da física quântica, que pouco subsiste do esquema do átomo proposto por Niels Bohr, um dos contributos mais decisivos para o desenvolvimento da teoria do átomo: “O esquema do átomo proposto por Bohr, um quarto de séculos atrás, agiu nesse sentido como uma imagem correta, mas não resta mais nada.” (A filosofia do não. 1ª ed. 1940).

Carregar na imagem seguinte para aceder ao vídeo.

Fanny – Ain’t that peculiar. Fanny Hill. 1972. Ao vivo em 1972.
Rock Group Fanny on French TV

Nascimentos por mês. A sazonalidade do sexo

“É em setembro que a vida começa a sério” (Gilbert Bécaud, vídeo musical 1). É, pelo menos, o mês em que nascem mais crianças em Portugal. Na tabela 1, os valores mais baixos aparecem carregados a vermelho; a verde, os valores mais elevados. O gráfico 1 ilustra esta distribuição.

Tabela 1. Nascimentos por ano e por mês. Portugal, de 2014 a 2019.

Fonte: INE.

De 2014 a 2019, os meses mais “férteis” são, por ordem decrescente, setembro, outubro e agosto. Os menos “férteis” situam-se entre fevereiro e junho.

Fonte: INE.

As crianças nascidas em setembro foram concebidas em dezembro. O que justifica este destaque? O reencontro natalício? O imaginário da natividade? A Senhora do Ó? A disponibilidade de tempo? A esperança associada ao Ano Novo e aos dias crescentes após o solstício de inverno? A indigência invernal? A última pseudoexplicação, a relação entre indigência e sexualidade.

Estas pseudoexplicações da proeminência de dezembro, na conceção, e setembro, no nascimento, relevam, de algum modo, do disparate. A realidade é complicada.

Os valores dos nascimentos em setembro não se afastam dos valores de agosto e outubro (ver tabela). Mas a maioria dos fatores convocados vale apenas para o mês de dezembro/setembro: reencontro natalício, imaginário da natividade, ano novo e solstício.

Eira de milho
Luar de Agosto
Quem faz um filho
Fá-lo por gosto
(Simone de Oliveira. Desfolhada. 1969.)

Gráfico 2, Nascimentos por mês e ano. Portugal. De 1980 a 2015.

Fonte: Extraído de Manuel Esteves. Setembro é o mês em que nascem mais crianças em Portugal. Porquê? Semanário. 14 de Maio de 2016. https://www.jornaldenegocios.pt/economia/detalhe/setembro_e_o_mes_em_que_nascem_mais_criancas_em_portugal_porque.

No tempo de Simone de Oliveira, o pico nos nascimentos era, provavelmente, em abril, e não em setembro, e a conceção das crianças em agosto, e não em dezembro (ver gráfico 2). Como explicar o predomínio do mês de agosto? As férias? O regresso dos emigrantes? A praia? As romarias? A exposição dos corpos? A concentração dos casamentos? A efervescência social? Não sei! Não sei! Não sei! Sabe bem um banho de ignorância documentada.

Vídeo musical 1. Gilbert Bécaud. C’est en septembre. C’est en septembre. 1978. Ao vivo: Olympia, 1988.
Vídeo musical 2. Simone de Oliveira. Desfolhada. Festival da Eurovisão. 1969.

Modernidade avançada

Falso documentário. Russian cyberpunk farm.

O Daniel Noversa enviou-me este vídeo. Um expoente de humor aberrante. A ciência e a cultura  transformam-se numa distopia delirante. O fabuloso tem precursores: os romances de François Rabelais, As Viagens de Gulliver, de Jonhatan Swift, a Quinta dos Animais, de George Orwell, e o absurdo Pays Sages, de Rafael Pividal. Gosto do tema e do modo. Há momentos em que parece que a vida se enganou na encruzilhada. Um excesso sôfrego de verdades e soluções. A enciclopédia do disparate. A sequência em que a robot leiteira evita o agricultor para se encostar ao trator é uma delícia. Fiquei sem fôlego literário. O Álvaro Domingues tem descoberto, no mundo fotografável, cotejos insólitos semelhantes. É ele que deve comentar esta espécie de documentário fictício.

Russian Cyberpunk Farm. Falso documentário.

Infradotado

Leonard Cohen.

Um perito, uma opinião. Dois peritos, uma contradição. Três peritos, uma confusão (Anónimo).

Nunca me deparei com tantos peritos e especialistas como durante a epidemia. Infradotado, confesso que pouco ou nada aprendi. Valha-me o Leonard Cohen.

Leonard Cohen. Hey, That’s No Way To Say Goodbye (Live in London). Songs of Leonard Cohen. 1967.
Leonard Cohen. Sisters of mercy (Live in London). Songs of Leonard Cohen. 1967.

A quem tem o monopólio de me aturar!