Baforada sombria. Não nos deixes, valor!
Les hommes et les femmes, ou bien se dévorent rapidement dans ce qu’on appelle l’acte d’amour, ou bien s’engagent dans une longue habitude à deux. Entre ces extrêmes, il n’y a pas souvent de milieu. Cela non plus n’est pas original. À Oran comme ailleurs, faute de temps et de réflexion, on est bien obligé de s’aimer sans le savoir (Camus. La Peste. Impressão de 1955, p. 15).
On eût dit que la terre même où étaient plantées nos maisons se purgeait de son chargement d’humeurs, qu’elle laissait monter à la surface des furoncles et des sanies qui, jusqu’ici, la travaillaient intérieurement. Qu’on envisage seulement la stupéfaction de notre petite ville, si tranquille jusque-là, et bouleversée en quelques jours, comme un homme bien portant dont le sang épais se mettrait tout d’un coup en révolution! (Camus. La Peste, p. 26).

Às vezes, cobre-me o negrume de escritos que não visito há quase meio século. E releio. Por exemplo, o primeiro capítulo do romance A Peste (1947), de Albert Camus. Aqueles ratos! Tantos ratos… Um prenúncio mais que somático. E ressoam as palavras e os acordes tétricos dos Aguaviva. Alegorias? Metonímias?